la lettre de Guy CAILLEAU

Scène d'horreur sur l'Ile de la Réunion

 

UN ENFANT TUE ET BRULE PAR SON PÈRE

Un article d’actualité a retenu toute mon attention ce jour. A sa lecture j’ai été pris de nausées et me suis repris à plusieurs fois pour aller au bout de cet article qui disait:

 

"Scène d'horreur sur l'Ile de la Réunion. Le corps d'un enfant de 4 ans a été découvert décapité et calciné dans une niche à chiens dans la cour de la maison familiale à Saint-Benoît, sur la côte est de l'île de la Réunion. »

 

C’est le propre père ou son beau père, qu’importe son lien familial avec l’enfant, qui l’aurait « sacrifié » à coup de « sabre » en le décapitant puis brulé après l’avoir éventré. Les témoins présent après la découverte du corps du pauvre petit supplicié décrivent une véritable « boucherie ». Son corps avait été placé dans une niche ou se trouvaient huit chiens appartenant au meurtrier qui avaient commencé à dévorer le cadavre de l’enfant.

 

Un témoin parle même de sacrifice rituel.

 

L'enfant et sa mère, qui est séparée du père mais continueraient d'entretenir une relation espacée avec lui, avaient rendu visite au père mardi soir. Une violent dispute avait éclaté entre les parents dans la soirée. C'est la mère de l'enfant qui a découvert le corps de son fils et alerté le cousin du suspect, voisin, au milieu de la nuit. Arrivés sur place, les gendarmes et les pompiers n'ont tout d'abord pas pu s'approcher du corps, car le père les attendait avec un sabre, qui a vraisemblablement servi à tuer l'enfant.

 

Il a ensuite été interpellé.

 

Au delà de l’horreur qu’inspire une telle atrocité, une nouvelle fois se pose la question récurrente du suivi de tels individus, car ce personnage ignoble n’était pas inconnu de la police et de la justice, il avait été

déjà été condamné plusieurs fois, notamment pour des violences et pour exhibitionnisme, mais n'a jamais effectué ses peines de prison. Il est considéré par ses voisins comme un homme violent.

 

Comment concevoir qu’il soit resté en liberté sans aucune surveillance, sans que personne ne se soucie de son état de santé mentale visiblement précaire. L'homme de 38 ans était connu pour sa fragilité mentale. Ses voisins le décrivent comme un homme "violent quand il est saoul".

 

Alors , une nouvelle fois je pose la question suivante, allons nous enfin prendre des mesures qui soient efficaces et logiques pour mettre hors circuit des individus de la sorte et préserver la vie de nos enfants. Quand donc un gouvernement aura-t-il assez de courage pour faire voter des textes qui soient réellement appliqués. Au lieu de mettre en prison des jeunes qui n’y vont que pour apprendre leur « métier » de voyous auprès de gens chevronnés, il serait peut être temps de privilégier le placement sous surveillance électronique pour laisser les cellules à ceux qui ne méritent pas de vivre dans notre société.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



19/06/2013
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