Les pieds Niclés nouvelle vague
LES PIEDS NIKES
vous souhaitent la bienvenue !
TROIS DEPUTES PAS COMME LES AUTRES
Fredé Filochar Clauclau Quignol Henri Bouledingue
Les nouvelles AVENTURES
DES PIEDS NIKES
Il était une fois dans un château appelé « le Palais où l’on boit du Bourbon », trois dépités qui cherchaient à exister après le départ en exil de leur champion le roi Sarko 1er, qui poursuivait sa croisade autour du monde afin de semer sa bonne parole.
Ils avaient été bien en cours pendant cinq longues années pour le peuple de Serfs qui végétait sous la magnificence du « Saigneur » qui vivait au « Palais de l’Enlisé ».
Frédé Filochard avait du aller s’exiler après la conquête de l’Etat par le Conte de Corrèze en l’an 0 après Sarko, car comme les historiens le savent, il y a eu un avant SARKO et un après SARKO.
Frédé Filochard avait donc été conquérir une peuplade des plus éloignée du Royaume. Il avait été nommé Duc par les quelques paysans qui restaient sur ces terres arides et éloignées du beau royaume de « Marianne ».
Clauclo Quignol avait été adoubé par ses pairs aussitôt après le départ du monarque SARKO 1er et siégeait depuis plus d’un an au Palais où l’on boit du Bourbon quand Frédé Filocahrd vint le rejoindre. Là ils retrouvaient tout deux Henri Bouledingue arrivé aussi dès le début.
Les trois compères étaient tous de la même trempe et avaient été les collaborateurs zélés et obséquieux de l’ancien monarque. On se souvient de leurs bons mots semés tout au long de leur carrière de lèches bottes patentés.
Henri Bouledingue pour sa sortie sur les riches: « Toutes les fortunes négocient leurs impôts »
Frédé Filochard s’était rendu « célèbre par ses déclarations à l’emporte pièce et avait bravement protégé le soldat Eric , tombé au combat, qualifiant "de viol collectif" le traitement que les médias lui avaient fait subir. Il n’avait pas hésité à s’attaquer à la Suisse pour protéger la victime du Roman de Paul en sky, tout en rappelant que la dénonciation est un devoir d’état.
Quant à Henri Bouledingue il avait réussi à faire parler de lui alors qu’il écrivait pour l’autre en prenant fait et cause pour son mentor après sa mise au banc de la justice qui restait indépendante malgré les différentes tentatives de main mise exercées par les monarques qui s’étaient succédés au chevet d’une Marianne mise bien mal en point au fil des siècles par là nuée de prétendants qui s‘étaient succédés dans sa couche.
Voila nos trois compères réunis à nouveau pour croiser le fer avec les nouveaux vassaux de Marianne portés aux « affaires » par un raz de marée bien timide qui avait désigné Ce conte de Tulle comme premier représentant de la population Rose.
Oui l’Etat de Marianne compte plusieurs divisions de Serfs, les Roses, inféodés au conte de Tulle, les bleus partisans de l’ancien monarque, ,les verts copains avec les roses mais pas trop, les oranges serfs du seigneur qui n’a pas de Pau, les bleus marine qui nagent entre deux eaux, et enfin les rouges prêts à en découdre quelque soit l’ennemi et à défaut avec leurs amis.
C’est une véritable palette de couleurs qui irisait la belle Marianne en cette première année de l’après Sarko
L’ancien monarque peu avare de déclaration laissait entretenir l’espoir d’un retour sous forme de recours en déclarant devant les fortunés de notre voisine ET (Entente cordiale ):qu'il était prêt à revenir en politique. Il aurait ajouté qu'il reviendrait "si l'on avait besoin de lui", et que se serait par devoir'."
Heureusement les serfs du royaume de Marianne ne lui demandent rien pour le moment et c’est tant mieux.
Mais ces déclarations ont eu pour effet de regonfler le moral des trois compères aux pieds niqués et l’espoir de retrouver leur rang auprès du monarque les faits redoublés d’efforts en gravir des échelons supplémentaires dans l’échelle de la bêtise politique.
Maintenant qu’ils sont à nouveau réunis nul doute que nous serons régalés par leurs succulentes sorties à venir.
LA VICTOIRE DU PEUPLE ROSE
L’avènement sur le trône de l’Etat de Marianne, qui en est dans un drôle, de François qui met le PAYSBAS avait apporté au peuple Rose un espoir bien légitime et au-delà à certains qui, lassés des frasques de l’ancien souverain et de son vizir Courage Filon, parmi les Serfs bleu et orange avaient porté leur suffrage sur ce prétendant qui n’avait jamais fait ses preuves à un poste important, mais qui semblait avoir la volonté qu’il fallait pour redresser Marianne fatiguée de la vitesse à laquelle elle avait vécue les cinq dernières années. Il avait vite été rebaptisé EUH EUH par le bon peuple de Marianne unanime devant ses premières indécisions.
Euh Euh avait répudié sa première compagne pour vivre avec une nouvelle qui n’avait de cesse que de tacler l’ancienne à chaque fois qu’elle le pouvait. Euh Euh n’était pas content mais laissait faire, peu enclin à décider clairement. Il n’avait pas voulu se marier avec Sécotine Loyal pas plus qu’il n’avait convolé avec celle qui laissait Trier Weler. Mais il avait décidé pour une fois de permettre à tous de se marier légalement.
Cette décision avait portée un grand nombre de Serfs bleu dans les rue du royaume menés par une passionaria appelée Rigide Marteau et provoqué des affrontements entre Serfs de couleurs différentes.
Mais Euh Euh avait tenu bon et la loi sur le mariage pour tous était passé permettant aux candidats de pacsés de l’union libre au mariage homo ce qui obligatoirement les rendis gai.
Après cet épisode Euh Euh décidait de battre en retraite et de s’en prendre à elles.
Le jour ou Euh Euh avait été adoubé et sacré roi de Marianne les éléments célestes avaient fait entendre leurs voies, ce qui était rare dans un royaume ou les voies ne comptent pas beaucoup il parait que les voies du saigneur sont impénétrable alors une fois installé personne ne cherche à les pénétrer et ils en dorment bien mieux.
Mais revenons au sacre de sa « grassouillette seigneur rie, » de nous, il avait commencé son règne sous une pluie battante et changer de veste deux ou trois fois dans la journée, mais cela était courant chez lui et tous y voyait un heureux présage, ne dit t’on pas dans le dicton: sacre plus vieux, sacre heureux et nul doute qu’il l’était bien (heureux), malgré l’eau qu’il prenait sur la tête alors que son prédécesseur la buvait.
Il avait pris un avion de ligne plutôt que le jet baptisé « Sarko one » parce qu’il le méritait bien lui aussi et qu’il voulait être un roi normal. Aussitôt ou plus tard peut être la foudre frappait l’avion du monarque et le bon royaume de Marianne avait failli perdre son roi fraîchement et humidement adoubé. Signe du destin ou nom Sarko 1er, toujours en embuscade se frottait déjà les talonnettes en espérant assurer la vacance du pouvoir lui qui y était par force.
Mais les augures en avaient décidés autrement et Euh Euh pu effectuer son premier voyage en « Bochie » et faire allégeance à la grosse Berta d’autre Rhin, Enlevez La Merkez.
SERFS DES CHAMPS ET SERFS VILLE
Les Serfs Bleu marine étaient dirigés par Martine Lamême et Phil Aupot, tous deux héritiers du féroce conquérant qui n’avait jamais rien conquis, mais qui avait essayé souvent, Jean Marie Lateigne bien souvent monté au front pour revenir sur le cul.
Les Serfs oranges avait à leur tête un gentil, chevalier Fran soit Baie Roux, qui avait tenté d’arracher le duché de Pau mais qui n’en avait pas eu beaucoup à ce jour et dirigeait sa poignée de Serfs secondé par le Barde des Pyrénées , ermite du Palais ou l’on boit du bourbon, qui vivait de peu voir de rien et n’arrivait qu’à la même chose, le dépité, Jean la salle. Il avait tenu fringale ouverte dans la pièce qui porte son nom à l’intérieur du palais ou l’on boit du bourbon et qui compte quatre piliers, la salle des quatre colonnes.
Les roses, depuis l’avènement de Euh Euh s’étaient vu placer à leur tête un ancien pote auquel il ne fallait pas toucher, qu’on aurait pu croire venu de Harlem tant son désir était grand de se hisser à la première place des roses.
Les bleus se déchiraient à coups de frittes, depuis l’abdication de Sarko 1er, pour le leader schips de leur coterie entre l’ancien Vizir Courage Filon et j’en ai franchement écopé. Après une intense bataille interne la coterie avait retrouvée une unité de façade sans pour autant la ravaler et recrépir les fissures. Ils se préparaient comme toutes les coteries de Marianne pour l’assaut du Donjon de la capitale de l’Etat en l’an deux après Sarko.
Les Verts qui avaient auprès du monarque actuel deux ambassadeurs spécialistes de l’amer, C. Cil du Flot et une femme venue d’Elf, Fine Bateau étaient dirigés par un illustre inconnu qui n’en était illustre que par son absence de connaissance, avant lui des figures importantes avaient dirigés la coterie, Eva pas belle, Daniel Conbéni rescapé de la bataille célébre de La sort bonne et qui l’avale de grâce en l‘an 68 avant Sarko, Noêl Monpére, mère qui beggle, et Dominique Voit net, au moins jusqu’à Montre œil.
Enfin venaient le peuple rouge emmené avec vaillance par le Connétable Jean Luc Méchanbon, reconnaissable à son visage de « ravi », comme disent les Serfs du midi de Marianne, passé des Roses au Rouge et fustigeant les Verts avec véhémence, tout en tapant sur tout et surtout en tapant.
Et fermant la marche il y avait Dame Titine Bouc Tain qui représentait les Serfs incolores, peut nombreux mais dont le leader, Jésus, crit fort sans pour autant garder les bras en croix.
EMBLEMES ET ETENDARDS
Certaine de ses coterie avaient une emblème:
Les Roses, c’était une rose rouge afin de faire goûter à leurs adversaires les effets des épines.
Les bleus une pomme devenue très vite celle de la discorde. Leur étendard quant à lui est bleu.
Les Rouges, initialement arboraient une faucille et un marteau, la faucille sans doute pour afficher leur volonté de glaner des voie partout et le marteau pour bien enfoncer le clou dans la tête des récalcitrants. Leur étendard est bien sur de couleur Rouge vif.
Toutes ces coteries n’avaient qu’un objectif: devenir Roi à la place du Roi. Sarko1er tel son prédécesseur Bonaparte devenu empereur qui joue le petit cabot, râle en attendant son heure et tous font front debout redoutant son retour.
CHRONOLOGIE DES MONARQUES
Avant ces deux monarques qui se battent pour la conquête ou la reconquête du siège ou MARIANNE pose son séant, il y a eut en l’an 58 avant Sarko un monarque absolu qui avait épousé Marianne par conviction, payant même ses dépense personnelles de ses écus, Charles Deux Gaulles, dit sa « Grandeur suprême », puis Georges Poupoupidou ancien grand vizir du précédent, disparu trop tôt pour mettre en œuvre ses projets en totalité. Il laisse dans l’histoire une énorme moissonneuse batteuse qui trône dans un des quartiers de la capitale de Marianne.
Après lui ce fut au tour de Valéry, un giscar qui n’avait pas grand destin, de devenir calife. Il fit juste un petit tour et reparti dans son fief victime d’avoir trop renifler d’avons, et après avoir constitué une nouvelle coterie bien éphémère et un peu décalée comme son portrait officiel.
En l’an 81 avant Sarko un prétendant de longue date, souvent vizir mais jamais premier, accédait enfin au siège de Marianne, après trois tentatives infructueuses, surnommé « le sauteur de l’observatoire » en raison de sa facilité à épier et s’éclipser rapidement, il régna sous le nom de François Le mite errant et resta 14 ans à la tête du peuple de Marianne.
En 95 avant Sarko l’ancien premier Vizir du précédent arrivait à son tour au palais de l’enlisé et prenait possession des lieux pour une période de 12 ans. Il avait été Grand Connétable de la capitale pendant de longues années, vizir des deux derniers monarques et connaissait par cœur tous les coups foireux qui pouvaient exister, c’est grâce à ses intrigues et ses combinaisons qu’il pu rester en place même quant l’ignoble Jean Marie Lateigne avait failli lui ravir son siège en l’an de grasse 202 avant Sarko.
LA VIE ET LES MŒURS AU ROYAUME DE MARIANE
Sarko 1er du temps de sa splendeur avait épousé Dame Célia qui elle-même avait été mariée avec un Martin qui faisait le Jaques sur la seine de l’Empire par Sarko 1er à l’époque ou celui-ci était Duc de Nœud Hi et qui depuis l’avait épousseté, puis répudié pour con voler en injuste noces princières avec la bardette aux quarante amants et qui avait brunie tant elle était restée exposée au soleil, une photo la représentant dans le plus simple à pareil avait circulée dans le royaume et avait été vendue très cher pour acheter des talonnettes d’or et d’argent à Sarko 1er qui tentait de se mettre au même niveau que ses collègues monarques voisins.
Dans la catégorie Bardes on avait Mi Schell Tsar Doux, barde officiel des souverains con sert à tord, mais qui ne voulait plus qu’on l’appelle « Marianne » et qui ne souriait jamais .
Les Salles Tain Banque du cinéma avait aussi leur Barde, Berard Deux Par Deux, appelé également « Mammouth ». Mais l’arrivée sur le trône de Marianne de Euh Euh l’avait incité à s’exiler en Flanonie pour y cacher sa cassette personnelle afin qu’on ne lui vienne pas lui prendre. Il se nourrissait des films qu’il tournait , doublant son poid du moment à chaque tournage. Berard Deux Par Deux , avait été surnommé par les journaleux: Berard deux fois deux Québec comme ses pieds. Il était passé par le mont Réal avant d’aller manger une vieille Poutine à la Crème de lin avec le Sar qui dine à l’huile, et qui l’avait reçu en lui disant « tchetchéne ». Tout deux avaient visités la place rouge qui était blanche alors même que la place blanche était rouge de Monde dans la capitale de Marianne, puis Bérard fait citoyen d’horreur de Moscou, pas trop fort, par la volonté de Vlad l’empaffeur, était reparti vers la flanonie pour y vérifier si son vin était aussi rouge que la place, vin produit dans la belle province de Marianne, L’En joue, feu.
Parmi les personnalités qui peuplaient le bon royaume de Marianne quelques uns avaient fait une belle carrière soit au cinéma, certain en faisaient encore sur les plateau de télé, vision peu réjouissante du Paf « Pas assez Féllés », on trouvait Alain « De long » de plus en plus court qui s’était associé un temps avec le chanteur qui crachait de la salive à chaque concert, ou pas, Verge Lama? Leur société s’appelait donc logiquement Lamadelon. Et il avaient fêté cette union, sans être gais, ni pacsés, avec du nectar offert par Deux Par Deux en chantant très fort avec Toni, un truand de basse fosse un peu septique.
Au début du siècle des « Pas glorieuses » on avait vu arriver une toute petite femme qui chantait à Avignon sur un pont et imitait les oiseaux avec une voie que seul les bridés du pays de « la Pine » pouvaient supporter, « Mireille Ma Queue » coiffée d’une perruque à la Jeanne d’Arc mais qui faisait pas bander et n’avait qu’un robe noire qu’elle à portée toute sa vie comme son idole qu’on aurait pu appeler Moineau et dites Piaf par ses amis.
La Flanonie nous avait fait découvrir un grand escogriffe aux bras d’atèles qui faisait autant de grimaces qu’eux et qui chantait avec force son pays plat mais avec des wallons en faisant le Jacques pour ne pas être pris pour une Brelle. Il avait fini sa vie auprès du peintre « Beau Gain » aux iles Marquises, ce qui est un comble pour lui qui avait été anar toute sa vie, avec sa dernière Con Pagne qui n’avait pas « mis bas » une dénommée Maddy alors qu’elle s’était appelée longtemps « Claudette ».
Un autre Barde avait marqué la société des bons geux serfs de Marianne dans les mêmes années, c’était un Gorille moustachu bien doté, gorges, bras seins, et ennemi des archets du roi en place quel qu’il soit, car eau ni soit qui mal y pense toujours en voyant les corps des nymphettes, pas plus infectes que çà d’ailleurs, qui peuplaient le royaume.
Parmi la volée « d’art tristes » qui évoluaient dans le royaume, certains avaient eut une carrière « effets mère » tel le Barde qui traversait le désert en se demandant pourquoi, « Jean Pratique pas que des vielles ». Qui à en juger par son état au retour du « sa elle » n’en pratiquait pas du tout.
A l’étranger aussi il y avait des bardes qui, seuls ou en croupe, avaient une influence jusque dans le royaume. Dans cette catégorie citons le groupe « la raclée » qui tapait fort faisant rougir les croupes des passionnées en leur distillant à chaque « Con Sert » une « super trempe ».
En Glande Cordiale , l’une des idole était Elton John ou John Elton on n’a jamais su dans quel ordre « le mettre » ni quel était son véritable nom, ni qui des deux dans leur couple était le maître ou ne pas mettre ils se posaient toujours la question.
En Epargne le Barde le plus connu était celui qui avait en permanence des « essuies glace et qui faisait le julot ». Il chantait d’une voie suaves et non pas slave car s’il se lave c’est qu’il se nettoie et s’il se nettoie c’est donc ton frère, bon je sais elle est éculée ne pas confondre avec En… cul laid, mais je n‘ai pas pu résister. Il avait été gardien de « puttes » dans un grand club du royaume et avait stoppé sa carrière suite à un ballon qui errait sans but mais avait trouvé le sien.
Les pays froids n’étaient pas en reste et nous avaient « des péché, » alors qu’il était en train de couler, et pécher en chemin de fer ce n’est pas banal, un croupe de deux femmes et deux hommes pour le grand cour de con de l’euro vison de la chanson des bardes qui nous avait mis « à bas » avant même d’avoir été en haut, depuis les bardes de Marianne n’ont jamais pu s’en relever et rampes toujours sous les feux depuis.
Mais notre gloire nationale, notre trésor et notre fierté c’est le solide barde du roc un peu « Jauni » par les ans et qui est en vacance depuis le début de sa longue carrière comme son nom l’indique. Il est l’inoubliable inter prette ou pas de « Dingo ,libre dans sa tête » ou encore « Boire c’est boire » et « retiens mon vit« , sans oublier sa fameuse interprétation du « pénice entier » reprise depuis des génération par ses fans un peu fanés par les ans.
Dans la catégorie des grands Con étable on avait le seigneur Nick Grosse Cane appelé également « le chevalier à la lance fleurie » qui avait époussetté pour sa casette et ses tableaux de mettre (zéro dix huit pour Nick), L’Anne aux sein clairs.
Nick avait été un des plus hauts personnages de l’ « Ordre, Mondial Etabli » et Grand argentier de Marianne et que le peuple Roses aurait bien voulu adouber pour en faire son Roi.
Devenu Grand argentier de l’ « Ordre Mondial Etabli » il avait vu sa fulgurante carrière contrariée par une banale affaire de soubrette qui lui aurait prodigué ses largesses mais sans son consentement, elle fit ca tout à l’eau et alla après coups se plaindre auprès du vizir des « con fris » qui avait ordonné qu’on amena le grand argentier séant devant lui pour le jeter dans un « cul de basse fausse » avant de décider que Nick Grosse Canes n’était pas coupable mais qu’il devait tout de même indemniser la soubrette adepte des « bouffardes » rapides auprès des sots. Fit elle que cela c’était suffisant pour jeter le pauvre Grosses Canes en disgrâce et Anne et en tire, ses espoirs de gouverner le royaume. Bien sur les copain comme cochon étaient tous rentrés à leur « port Chéri » et vaquaient à leurs « au cul passion » comme une autre, sans se soucier de l’avenir de Nick.
D’autres courtisane avaient prisent le relai et tenter de nuire au preux chevalier mais toutes avaient été « dés bouts té, » tés. N’empêche que le beau Nick avait vu son Anne aller chercher son foin ailleurs et paître sous d’autre Hospice (de vieux) pendant que Nick tentait de se dé-paître de ses accusations mensongères distillées par des Banons pour le faire battre. Nick avait été remplacé par une fidèle gardienne du temple des Bleus à la tête des finances de l’ « Ordre mondial Etabli » et elle montait, et il ne l’avait pas fait, La garde avec zèle et courage.
La meneuse des Serfs incolores, Titine Bouc Tain s’était unie avec un coussin de type germain qui cultivait le respect de la famille avec un zeste de son mitron.
LES VOISINS DE MARIANNE
A l’est de Marianne un grand royaume était dirigé par Enlevez La Merkez qui régnait en grosse Berta sur le petit peuple de « Bochie».
Juste au dessus de Marianne il y avait la « Flagonnie », pays plat dont le roi était Benêt 1er. Ce royaume avait la particularité d’avoir deux LANG usuelles alors que le bon peuple de Marianne n’en avait qu’un: JACQUES, resté célèbre et vénéré tous les 21 juin, pour sa fête annuelle des trous balourds dites de la « Zicmu » .
A coté du royaume de Marianne se trouvait un tout petit royaume appelé « La Cuisse » en raison de sa proximité avec un tout petit trou, près de balle. La particularité de ce royaume était que l’argent n’avait pas d’odeur dans cet état dont l’un des héros avait un point commun avec les Serfs bleus de Marianne il était adepte des pommes même s’il les cueillait avec un arc et des flèches sur la tête de son rejeton.
La « Pizzalie » au sud de Marianne était un royaume ou les serfs étaient très exubérants et voyageaient au mépris des règles élémentaires de conduite sur des chars par plus grand que des pots de Yaourt; Ils parlaient avec les mains pour s’adresser aux étrangers car eux seuls pouvaient se comprendre entre eux.
L’Epargne, peuplée de Con Quérants, avait connu bien des tracas au cours de son histoire. Elle avait été dominée par un Dictateur qui les avait asservit pendant de longues années, Franco de porc comme la ville du même nom: Saint Jean Pieds de Cochon.
Un pourceau d’évêque qui inventa le concept de la femme au foyer en brulant Jeanne d’Arc notre « Plus celle » que vous croyez nationale.
Plus haut à gauche de Marianne était un royaume perdu sur une île composé de plusieurs provinces, « la Glande cordiale » Elle avait à sa tête une reines depuis 60 longues années et semblait ne pas aller plus mal pour cela, bien sur elle avait connue plusieurs grands vizir mais l’alternance qu’elle avait mise sur pieds permettait à chaque camps de faire son nombre de conneries annuelles et de passer le flambeau au suivant sans que personne n’y voit rien à redire. Tous le monde était content et ce royaume n’avait rejoint l’ « Eurocroupe »(voir plus bas et il sera difficile d’y descendre tant la médiocratie est régnante), que pour les avantages éventuels mais gardait ses prérogatives et surtout frappait sa propre monnaies. Elle avait de la sorte toute une collection de livres sur lesquels elle pouvait s’admirer.
L’un des royaume les plus petit était un de ceux les plus riche, la Prince tripoté du « Lux en Bourg » était réputés pour être un des coffres forts des glands de ce monde, comme « La Cuisse » du reste. Et chacun sait que de la cuisse au gland il n’y a qu’un trou, celui de balle bien sur.
En haut les royaumes qui formaient l’ « Eurocroupe » étaient des royaumes froids ou seules les filles étaient chaudes, « La hot Lande » avec son port « Marie time » dont l’Anvers vaut l’endroit, sa capitale « Hamster Dame », ses villes principales « Rot Ter Dame ……. Ame Strame Gramme, Pic et Pic et Collegrame, mais bon je « mé gare ».
A coté la « Fin Lande », c’était le bout du monde connu, c’était la fin de l’ « un continent », après il y avait le « Mole Mort » un territoire où seuls des aventuriers en quête d’aventure, s’aventuraient seuls. Jamais personnes n’en était revenu et rare étaient ceux qui s’y aventuraient même accompagnés.
Et puis les souverains avaient signé un traité avec ma trique pour élargir l’Eurocroupe un peu plus ce qui lui donnait l’air d’une vaste bouche des gouts qui n’était pas de celui de tous.
Cet élargissement qui faisait mal aux entournures de l’ « eurocroupe » avait fait entrer dans le Palais de verre de Brussel
Tous ces royaumes hétéroclites avaient il y a fort longtemps tenté de formé une coalition face aux états Hu Nie d’Amnésique dirigé depuis 5ans par l’homme qui casse la baraque dans la guerre de l’ « Eurodollard ». Cette coalition, que le fondateur de la dinasty Bleu appelait « Le Machin », avait pris pour nom l’ « Eurocroupe » les Tech ni chien, ni homme d’ailleurs siégeaient dans un immense château de verres assez choux à Brussel, capitale de la Flanonnie.
LES EVENEMENTS DU ROYAUME DE MARIANNE
Le 21 Juin c’est la fesse des trou du cul qui viennent jouer avec tout et rien sous les fenêtres des serfs qui se foutent pas mal des couacs générés par cette bande de dégénérés qui envahi les espace « plus biques » mais qui sentent le Bouc le lendemain.
14 juillet c’est la Fesse Nationale, tous les serfs se pelotent et danse la danse de Saint Guy alors que pour les fesses de Joël ils s’embrassent dessous. A cette occasion certains s’exercent au tir au pigeon comme se fut le cas sur l’ancien grand « Con étable »devenu roi, adepte des pommes, au cours d’une fesse passée.
Au royaume de Marianne les souverains qui s’étaient « susse cédés » décrétaient chacun leur journée et leur grande cause nationale, c’est ainsi qu’on fêtait la journée des flammes, la lutte contre le concert, la journée sans abats, on fêtait tous le monde, les jeunes les vieux , les estropiés, les bien portant, les pûtes, les feignants, les instit, mais c’était la même catégorie que la précédente, les vicieux, les scatos qui font la lipe enfin tous sauf une catégorie pour laquelle tous se seraient retrouvés con cernés: les cons.
Il n’y avait pas au royaume de Marianne de journée des Cons alors que l’état en était peuplé. C’’était là une grave injustice qui nous faisait mal voir des non voyants du palais de verre à Brussel.
LA GOUVERNANCE DE MARIANNE
Euh Euh avait désigné, sous la pluie battante comme un tambour, Jean Mac Zéro 1er Vizir du royaume. Ensemble ils avaient constitués une équipe de gouvernance comme on compose une association de mal fêtards, plutôt tôt, puisque zéro plus zéro égal la tête à…. Cette équipé pas solitaire était toutes dévouée à Euh Euh, il y avait des Vizir et des Vizirettes connus et d’autres moins , certain inconnus mais comme ils étaient plusieurs forcement on appris à les connaître. Quelques uns ne sont resté que quelques mois