AVOIR LE CHOIX
Une loi pénale sans fondement
De tous temps, en tous lieux, en toutes circonstances, l’homme, ou la femme, a dû choisir.
Choisir son conjoint, choisir d’avoir des enfants ou de ne pas en avoir, et combien. Choisir ses amis, choisir ses collaborateurs, ses employés.
Choisir sa religion, choisir l’organisation de la société, son lieu d’existence, sa culture et sa civilisation.
Depuis 1500 ans notre pays a dû construire ses conditions de vie en société. Il a choisi la culture gréco-latine, la religion chrétienne, la civilisation européenne.
Tout ces choix ont été opérés librement, sans contrainte. Aucune loi pénale n’était venue contrarier ses choix.
Ce n’est que tout récemment que nos élus, animés par des sentiments utopiques, ont voulu changer nos modes de vie et nous obliger, sous la menace de peines pénales, excusez du peu, 3 ans de prison et 4500 euros d’amende (Article 225-2 du N.C.P.) à faire des choix contraires à nos convictions personnelles.
Dans le domaine de la contrainte punissable ils sont allés très loin, et de plus en plus, loin.
C’est ainsi que l’article 225-1 du N.C.P. nous oblige à faire des choix qui ne sont pas les nôtres. Ces choix contraires ont été qualifiés de « discriminations ». Evidemment « choisir » c’est aussi « discriminer ».
Si je choisis une femme pour l’épouser, toutes les autres sont discriminées. La belle affaire faut-il me mettre en prison pour me contraindre à en choisir une autre ?
Si, pour travailler dans mon métier d’expert comptable, je choisis, comme secrétaire, une femme blonde de préférence à une brune ou de préférence à un homme, exerçant le même emploi. Est-ce que l’on doit me mettre en prison pour contester mon choix et me contraindre à en faire un autre qui ne me convient pas ?
Les ahuris qui ont contesté au peuple le droit de choisir sont allés très loin dans le domaine de l’utopie.
Voici, en effet, ce que le législateur a considéré comme répréhensible au fil des années et que l’on retrouve dans l’article 225-1 du N.C.P. :
- Toute distinction opérée entre les personnes physiques à raison :
- De leur origine
- De leur sexe
- De leur situation de famille
- De leur grossesse
- De leur apparence physique
- De leur patronyme
- De leur santé
- De leur handicap
- De leurs caractéristiques génétiques
- De leurs mœurs
- De leur orientation sexuelle
- De leur âge
- De leurs opinions politiques
- De leurs activités syndicales
Et, le plus beau, le plus ahurissant :
- De leur appartenance ou de leur non appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race (tiens donc elles existent) ou une religion déterminée. Ainsi tout et son contraire est répréhensible.
Tout cela constitue la fameuse « discrimination » pénale passible de trois ans de prison. Quel choix reste-t-il à l’individu lorsqu’il doit respecter de telles élucubrations parlementaires ?
Faut-il dire à ces législateurs de pacotille que leur loi est inapplicable car toute décision nécessite un choix et donc, à contrario, une discrimination.
Ainsi tout choix de l’homme, dans sa vie sociale, devrait le conduire en correctionnelle.
Et ces imbéciles ont trouvé encore plus fort dans le domaine des actions coercitives néfaste. L’entrée dans les discothèques est contrôlée par ces tabellions de la pensée.
Refuser l’entrée à une personne abusivement alcoolisée, s’il est noir ou arabe, est une discrimination pénalement réprimée.
Faire sortir et interdire d’entrée un perturbateur violent, s’il est noir ou arabe, est discriminatoire et donc passible de correctionnelle.
Lorsqu’on veut embaucher, des élus, plus ahuris que leurs collègues, ont imaginé le « curriculum vitae anonyme » c’es à dire sans nom, sans adresse, sans photo, sans diplômes etc..etc..
Rien ne doit permettre de discriminer le candidat et l’on pense qu’il y a des chefs d’entreprises qui embauchent dans de telles conditions ?
Le législateur est apparemment devenu fou et il faut impérativement le renvoyer dans ses foyers.
Toutes les lois liberticides et mémorielles devront nécessairement être abrogées si l’on veut que le peuple retrouve sa souveraineté.
Pour cela il faudra instaurer l’obligation de soumettre au « référendum d’initiative populaire » les lois ayant recueillis un nombre raisonnable de signatures (pas plus de 500 000 par exemple).
De même, dans les mêmes conditions, toute loi votée sera soumise au « référendum sanction » du peuple, pour être abrogée, s’il en est ainsi décidé.
Le peuple doit reconquérir sa souveraineté et cette reconquête passe par l’élimination des élus ayant conduit la France au désastre économique, financier, à l’envahissement inconsidéré de son territoire par les pauvres du monde entier.
Sans un changement total de l’oligarchie « U.M.P.S » aucune réforme de fond ne sera ni entreprise ni réalisée.
Il faut impérativement que notre peuple se réveille s’il veut survivre.
Voici reproduite un article de Pierre DESCAVE, envoyé par René HOFFER, il pose le problème crucila du choix dans notre société et des dérives du legislateur en la matière. Je vous laisse le soin de réflechir à ce sujet, merci de bien vouloir me donner vos commentaires sur le blog, si vous me laissez un mail à mon adresse: gc.cailleau@aliceadsl.fr, je mettrais un point d'honneur à vous répondre personnellement . Merci d'avance
Guy Cailleau